Guten Tag...Buongiorno...Moien...Good Morning...Bonjour...Buenas Dias! Le fils perdu est revenu de son voyage en Italie et il vous ramène sept nouveaux films dans sa hotte. Finies les vacances donc pour les HATARI PAPERS qui - soit dit en passant - ne vous ont jamais vraiment quittés, puisque tous les bons hôtels en Italie - de Sorrento à Venise, en passant par Rome, Florence, Viaregeggio et Torvino - sont très bien équipés en wifi. Côté cinéma, ce n'est pas encore la rentrée, mais avec la sortie du formidable TONI ERDMANN de Maren Ade, le film qui a fait exploser l'enthousiasme cannois (sauf celui du jury, allez comprendre) et l'arrivée de la Schueberfouer ce vendredi (aie, pour le parking à Utopia, ce sera dur), l'automne n'est plus loin. Les Trekkies sont également gâtés cette semaine, puisque STAR TREK BEYOND et l'Enterprise reviennent sur les chapeaux de roue. Mathématiquement parlant, THE MAN WHO KNEW INFINITY devrait également intéresser le public qui ne va pas uniquement au cinéma pour se taper sur les fesses. Les amateurs de félins et les fans de Kevin Spacey seront aux anges avec NINE LIVES de Barry Sonnenfeld, où Spacey se trouve réincarné en pussycat. Finalement, côté popcorn, nachos, Bratwurst und Pommes, LIGHTS OUT (épouvante), ANTONIO - IHM SCHMECKT'S NICHT ("Komödie" allemande) et CONNY & CO (Kinderfilm allemand) viennent arrondir la programmation estivale. Voilà, Messieurs Dames, vos plats sont préparés...et le rhinocéros est de retour! Jean-Pierre THILGES
Der Film der Woche
TONI ERDMANN *****
Dramatische Komödie
Regisseurin, Drehbuchautorin: Maren Ade
Mit Peter Simonischek, Sandra Hüller, Thomas Loibl, Trystan P!tter, Hadewych Minis
Kamera: Patrick Orth
Deutschland/Österreich/Schweiz 2016, 162 Minuten
Welturaufführung Filmfestspiele Cannes, Mai 2016.
Winfried, ein sozialromantischer Alt-68er mit einem übergroßen Hang zu Scherzen, lebt allein mit seinem Hund. Seine einzige Tochter Ines jettet derweil um die Welt und arbeitet ehrgeizig an ihrer Karriere als ziemlich skrupellose Unternehmensberaterin. Als sein Hund stirbt, reist Winfried spontan nach Bukarest, um den Kontakt zu Ines wieder aufzunehmen. Doch zwischen Meetings, Businessempfängen und Hotelbars fühlt er sich schnell fehl am Platz, seine unentwegten Witze irritieren seine gestresste Tochter, und bald kommt es zum großen Krach. Da verwandelt Winfried sich in sein Alter Ego Toni Erdmann – mit schlechtsitzendem Anzug, Perücke, schiefem Gebiss und neuer Persönlichkeit mischt er sich kühn und voller Witz als "Coach ihres Chefs" in Ines' Berufsalltag. Es kommt zu einem offenen Schlagabtausch, der Vater und Tochter verblüffenderweise wieder einander näher bringt...(Zusammenfassung: filmportal.de)
Deutsches Kino gehört - ausser den immer wiederkehrenden Blödelkomödien - kaum noch zu dem, auf das seriöse Filmkenner sich vorrangig freuen. Auch wir erbleichten erst einmal, als es in Cannes plötzlich hieß, wir sollten uns einen deutschen Film "reinziehen", der geschlagene 162 Minuten dauert. Doch die Stimmung im Saal schlug sehr schnell um und es kam zum wiederholten Szenenapplaus, was in einer Pressevorstellung in Cannes, wo die brutalsten und hart gesottensten Filmkritiker der Welt sich zusammenrotten, so gut wie nie vorkommt. Die Stimmung im Saal steigerte sich zur Euphorie und es hagelte Lachsalven, obwohl der Film im Grunde genommen eine eher ernste Abhandlung zum Thema gesellschaftliche Ausgrenzung und Entfremdung in der Familie sen will. Nach der Vorführung tanzten Presse und Publikum gemeinam in den Straßen von Cannes und fast alle waren sich einig, dass sie eben die Goldene Palme und den besten deutschen Film seit Jahren gesehen hatten. Nur die Jury muss blind, taub und besoffen gewesen sein, denn sie ignorierten das zwischenmenschlich-humorvolle Meisterwerk bei der Preisverteilung. Der Preis der internationalen Filmpresse FIPRESCI ging selbstverständlich an TONI ERDMANN, einen einmalig schönen Film, der sich jeden seiner 5 Sterne redlich verdient hat!
Und hier noch das Video der Pressekonferenz in Cannes. © Festival de Cannes 2016
Achtung: SPOILERS!
Die Publikumsreaktion nach der Uraufführung in Cannes © Festival de Cannes 2016
THE MAN WHO KNEW INFINITY
Drame biographique
Réalisateur: Matt Brown
Avec Dev Patel, Jeremy Irons, Toby Jones, Stephen Fry, Jeremy Northam, Kevin McNally, Devika Bhise
Scénariste: Matt Brown
d'après le roman de Robert Kanigel
Directeur/Photo: Larry Smith
GB 2016, 109 minutes
À l’orée de la Première Guerre mondiale, l’étudiant indien Srinivasa Ramanujan Iyengar est remarqué pour son aisance naturelle avec les chiffres. Le talent exceptionnel de ce jeune homme issu des quartiers pauvres de Madras est tel qu’il est admis au Trinity College, un prestigieux pavillon de l’université de Cambridge en Angleterre. Délaissant sa femme, sa famille et son pays, le prodige se rend en Grande-Bretagne où il est reçu par son futur mentor et ami, Godfrey Harold Hardy. Sur place, le brillant mathématicien devient rapidement une sommité auprès de ses pairs, tandis que sa contribution menace de révolutionner la discipline. Ostracisé pour ses origines ethniques et sociales, le jeune génie tente de garder le cap malgré une santé fragile... (Résumé: Régie du Cinéma Québec)
"Ce drame biographique inspirant, signé Matthew Brown et tiré du roman de Robert Kanigel, relate l’authentique ascension d’un talentueux mathématicien, provenant d’une famille modeste. Sobre et linéaire, le récit contient de rares images peu détaillées qui illustrent l’agitation et l’instabilité d’une époque." (Régie du Cinéma Québec)
"A beautiful mind is reduced to simplified dramatic equations in “The Man Who Knew Infinity,” an easily digestible fish-out-of-water biopic of Srinavasa Ramanujan, the India-born mathematical prodigy whose tutelage under the English academic G.H. Hardy gave rise to some of the field’s more remarkable 20th-century discoveries. As tends to be the case when filmmakers turn their attentions to matters of the mind, the prevailing narrative strategies here are geared almost entirely toward the emotions — and so, despite some duly stimulating discourse between lead players Dev Patel and Jeremy Irons against the hallowed backdrop of Cambridge, this sophomore feature from writer-director Matthew Brown (2000’s “Ropewalk”) emerges an overly dutiful account of physical hardship, cultural prejudice and inevitable tragedy that, in form and spirit, never channels the inventiveness and ingenuity of its subject’s work." (Justin Chang/Variety)
STAR TREK BEYOND ***
Science-fiction
Réalisateur: Justin Lin
Avec Chris Pine, Zachary Quinto, Simon Pegg, Idris Elba, Anton Yelchin +, Zoe Saldana, Karl Urban
Scénaristes: Doug Jung, Simon Pegg
Directeur/Photo: Stephen F. Windon
Musique: Michael Giacchino
USA 2016, 123 minutes
L’équipage du USS Enterprise, avec à sa tête le capitaine James T. Kirk, rentre à peine d’une longue mission, lorsque le haut commandement de la Fédération des planètes unies reçoit un message de détresse. Kirk et les siens sont aussitôt désignés pour y répondre. Proche du but, leur vaisseau est attaqué et s’abîme sur une planète où sévit Krall. Cet être monstrueux et cruel cherche à récupérer un artefact qu’il sait en la possession de Kirk et dont il compte se servir pour détruire la base de Yorktown. Ayant flairé le piège, le capitaine et ses compagnons ont tout de même réussi à s’éjecter avant l’écrasement de l’Enterprise. Désormais sans moyen de transport et dispersés dans un lieu hostile, ils devront d’abord se réunir afin d’espérer contrer les sombres desseins de leur ennemi...(Résumé: Régie du Cinéma Québec)
Si le nom du réalisateur Justin Lin ne vous dit rien ,sachez que c'est lui qui a signé pas moins de quatre épisodes de la série FAST AND FURIOUS. Après le reboot, dont les deux premiers films étaient signés J.J. Abrams, la nouvelle série commence à trouver sa vitesse de croisière. Abrams ne travaille plus que comme producteur et superviseur dans les coulisses, mais son esprit est toujours là, alors qu'il est également occupé à "rebooter" la séire de la Guerre des Étoiles avec le succès que l'on connaît. Les Trekkies seront aux anges, alors que ceux qui n'ont jamais aimé Kirk, Spock et Compagnie passeront leur chemin.
"Ce troisième volet du reboot de la franchise qui fédère les adeptes depuis ses débuts à la télévision dans les années 1960 oppose Kirk, Spock, Scotty et leurs collègues à un ennemi mégalomane et vengeur. Se déroulant aux confins de l’univers, leurs aventures sont truffées de rebondissements qui se déploient de manière spectaculaire à l’écran. Misant sur des effets spéciaux à la fine pointe de la technologie, l’œuvre n’en demeure pas moins fidèle à l’esprit original de la série. Ainsi, les questionnements existentiels des protagonistes, teintés d’humour, essaiment tout au long du récit." (Régie du Cinéma Québec)
"Director Justin Lin brings his bravura action energy and a certain nostalgic flair to the 'Star Trek' series, even as he unboldly goes where too many have gone before. It doesn’t take a rocket scientist to see why director Justin Lin was handed the reins of the “Star Trek” series from the outgoing J.J. Abrams. Lin, the director of four “Fast and Furious” films, is a virtuoso at making vehicles fly through space, and his “Star Trek Beyond” has a few of the most spectacular set pieces ever seen in the series. What’s more, if you had to find a theme in the “Fast and Furious” films — apart from their real theme, which is that speed and destruction rock — it would be this: A motley crew of multiculti ego-driven auto pilots works best when they make themselves into a team. Yet it’s not until the halfway point of “Star Trek Beyond” when Lin stages a sequence that truly seems to get his juices flowing." (Owen Gleiberman, Variety)
NINE LIVES
Comédie féline
Réalisateur: Barry Sonnenfeld
Avec Kevin Spacey, Jennifer Garner, Christopher Walken, Robbie Amell
Scénaristes: Matt Allen, Daniel Antoniazzi, Gwyn Lurie, Ben Shiffrin, Caleb Wilson
Directeur/Photo: Karl Walter Lindenlaub
Musique: Evgueni & Sacha Galperine
France/Chine/USA 2016, 87 minutes
Tom Brand est obsédé par l’achèvement de la construction de sa nouvelle tour de bureaux qui se veut le plus haut gratte-ciel aux États-Unis. Obnubilé par ses affaires, il en oublie cependant sa famille. Entre son fils issu d’un premier mariage et sa seconde femme, il y a aussi Rebecca, sa fille, qui se sent délaissée. Le jour de son 11e anniversaire, elle exprime le souhait d’avoir un chat, au grand malheur de son père qui déteste ces animaux. Mais, un évènement inattendu se produit alors que Tom est victime d’un accident qui le précipite dans le coma. De façon inexplicable, son esprit est transporté dans le corps du félin qu’il venait d’acquérir. Confronté à une situation insolite, il doit redéfinir complètement son comportement s’il veut retrouver un jour son ancienne vie...(Résumé: Régie du Cinéma Québec)
L'idée de voir l'esprit de Kevin Spacey réincarné dans le corps et la tête d'un chat me fait saliver, même si le fait qu'une demi-douzaine de scénaristes se soient acharnés sur le film me fait peur. D'un autre côté, Barry Sonnenfeld est quelqu'un qui sair doser l'humour et comme le film ne dure qu'une heure et 27 minutes, le risque de se planter ne doit pas être trop grand, du moins je l'espère. D'autre part, il y a quand-même un signe d'interrogation: NINE LIVES a été produit par la société de Luc Besson. Et le critique de Variety n'est pas emballé du tout! À moins qu'il déteste tout simplement les chats...
"The thing that’s so excruciating about films like “Garfield: The Movie,” “Cats & Dogs,” “Beverly Hills Chiuahua,” or the new “Nine Lives” — starring Kevin Spacey as the voice of a disgruntled kitty cat named Mister Fuzzypants; are you tumbling out of your chair with laughter yet? — is not that they’re comedies about talking animals. (Many fantastic animated movies are comedies about talking animals.) It’s that they’re made by people laboring under the delusion that an animal who talks is in itself funny. News flash: It is not. It’s funny only if you believe that the zaniest special-effects comedy of 1964 starring the voice of Shecky Green is funny." (Owen Gleiberman, Variety)
LIGHTS OUT **
Film d'épouvante
Réalisateur: David F. Sandberg
Avec Teresa Palmer, Maria Bello, Billy Burke, Alexander Di Persia
Scénaristes: Eric Heisserer, David F.Sandberg
Directeur/Photo: Marc Spicer
Musique: Benjamin Wallfisch
USA/GB 2016, 81 minutes
Sur le point de quitter son lieu de travail, Paul est la proie d’une créature tapie dans l’ombre qui l’assassine sauvagement. Son fils Martin, âgé d’une dizaine d’années, a du mal à se remettre de cette perte, d'autant plus que sa mère dépressive, Sophie, se comporte bizarrement et parle toute seule. Un soir, alors qu’il n’arrive pas à dormir, Martin aperçoit un être dans le noir. Le lendemain, incapable de rester éveillé en classe, il est conduit à l’infirmerie où Rebecca, sa demi-sœur qui a déserté avec fracas le foyer familial, vient le chercher. Martin s’installe chez elle et la créature le poursuit jusque-là. Lorsque Rebecca découvre que ce qui les terrorise est intimement lié à des événements survenus dans l’enfance de leur mère, le danger se fait de plus en plus menaçant...(Résumé: Régie du Cinéma Québec)
Je nes suis pas très friand de ces nouveaux films d'horreur surtout américains qui répètent leurs idées uniques ad infinitum, mais le public 8surtout américain aussi) leur fait à chaque fois un triomphe. Si ce n'est pas du Wes Craven, loin de là, on nous dit quand même que c'est efficace et que ça vous fait sursauter plusieurs fois, surtout que la bande-son est censée être particulièrement efficace. Adapté par le réalisateur suédois de son propre court-métrage.
"Ce récit d’épouvante, qui a d’abord fait l’objet d’un court métrage, est ici exploité de manière plus exhaustive. Une famille hantée par un être menaçant, avec qui seule la mère peut dialoguer, doit conjurer le sort pour s’en libérer. Tandis que l’importun terrorise tout un chacun, en assassinant même certains, l’aînée, une jeune femme en rupture avec les siens, mène l’enquête. Fidèle au genre, le film installe un climat de tension inquiétant, notamment grâce à une bande sonore aux effets judicieusement choisis." (Régie du Cinéma Québec)
"David F. Sandberg’s no-budget, near-wordless 2013 short film “Lights Out” features a premise so simple it’s essentially a cinematic haiku. A woman is alone in her apartment, and when the lights turn off, an eerie female figure appears; when they come back on, the figure disappears. But Sandberg’s three-minute execution of this simple premise was clever enough — and virally popular enough — to secure the inexperienced Swedish filmmaker the support of horrormeister James Wan. Now armed with studio backing, his feature length expansion of that short never strays too far from its source, essentially repeating the same jump scare, over and over again, for most of its muscular 80 minute running time. What’s most shocking is how well it still works." (Andrew Barker/Variety)
ANTONIO, IHM SCHMECKT'S NICHT
Komödie
Regisseur: Sven Unterwaldt jr.
Mit Alessandro Bressanello, Christian Ulmen, Mina Tander, Maren Kreut, LUC FEIT
Drehbuch: Daniel Speck
nach dem Roman "Antonio im Wunderland" von Jan Weiler
Kamera: Stephan Schuh
Deutschland 2016, 95 Minuten
Jan und die Deutschitalienerin Sara haben geheiratet und freuen sich auf ihre Flitterwochen in New York – ganz ohne stressigen Familienclan. Aber es kommt anders als gedacht, denn Saras Vater Antonio schließt sich dem entnervten Paar kurz entschlossen an, um ein Auge auf seine schwangere Tochter zu haben. Die eigentlich gute Beziehung von Jan und seinem Schwiegerpapa wird dadurch ebenso auf die Probe gestellt wie die junge Ehe. Damit nicht genug, wird der eigensinnige Antonio in Amerika in so manche Turbulenz verwickelt...(Zusammenfassung: filmportal.de)
Es heißt, dies sei die Fortsetzung von "Maria, ihm schmeckt's nicht" der - soweit mein Gedächtnis micht nicht im Stich läßt - NICHT bei uns in die Kinos kam. Der Trailer (siehe unten) läßt auf primitivste Sommerunterhaltung schließen, sozusagen die Antithese zu unserem Film der Woche, TONI ERDMANN von Maren Ade. Na denn, Prost! Ach ja, UNSER Luc Feit spielt auch mit.
CONNI & CO
Kinderfilm
Regisseurin: Franziska Buch
Mit Emma Tiger Schweiger, Oskar Keymer, Iris Berben, Heino Ferch
Drehbuch: Vanessa Walder
nach der Kinderbuchreihe von Liane Schneider und Julia Boehme
Kamera: Konstantin Kröning
Musik: Youki Yamamoto
Deutschland 2016, 104 Minuten
Im Mittelpunkt steht die 12-jährige Conni, die sich durch große Neugierde, einen ausgeprägten Gerechtigkeitssinn und jede Menge Temperament auszeichnet. Sie liebt es, mit ihrem besten Freund Paul die Gegend zu erkunden und Neues zu entdecken. Als Connis bisherige Schule schließt, kommt sie in eine neue Schule, wo der Direktor Möller ein äußerst strenges Regiment führt. Aber nicht nur das: Möller ist ein gemeiner Tierquäler und fest entschlossen, seinen kleinen Hund Frodo zum Werbeträger einer Hundefutter-Marke zu machen. Von der Karriere des Vierbeiners erhofft er sich den großen Reichtum. Möller hat aber nicht mit Conni und ihren Freunden gerechnet, die den putzigen Hund ins Herz geschlossen haben und aus den Fängen des Rektors befreien wollen. Hilfe bekommen sie von Connis rüstiger Omi Marianne, die einen Gnadenhof führt und Typen wie Möller überhaupt nicht leiden kann...(Zusammenfassung:filmportal.de)
Franziska Buch, die auch bereits in Luxemburg gedreht hat (Adieu Paris (2013), in Koproduktion mit Iris Productions), ist vorangig für ihre einfühlsamen Kinderfilme bekannt, unter anderem "Emil und die Detektive" (2001), "Der Froschkönig" (2008), "Hier kommt Lola" (2010) und "Yoko" (2012). Ein zweiter Film der Reihe ist bereits in Planung. Der Text der FBW Wiesbaden lässt auf stimmige Ferienunterhaltung für die Kids hoffen.
"Seit über 20 Jahren erscheinen in der gleichnamigen Kinderbuchreihe regelmäßig Geschichten über die kleine freche Conni, die für jede Altersstufe verfasst werden. Franziska Buch hat sich für ihre Verfilmung die Geschichten ausgesucht, in denen Conni sich auf der Schwelle zwischen Kind und Teenager befindet. So gelingt es geschickt, die Brücke zwischen den verschiedenen Altersstufen und den dazugehörigen Alltagskonflikten zu schlagen, wobei vor allem jüngere Kinder sich sehr gut mit der Heldin und ihrer Clique identifizieren können, die ungekünstelt, frisch und natürlich agieren. Da gibt es die schlauen Kids, die sich mit der modernen Technik auskennen und die ängstlichen Kinder, die Hindernisse überwinden müssen, bevor sie zum Helden werden können. Oder auch die zickenhaften Teenie-Mädchen, die aber im Grunde ihres Herzens auch nur zu einer Gruppe gehören wollen, in der sie so gemocht werden, wie sie sind. Im Zentrum der abenteuerlichen und sehr unterhaltsamen Geschichte steht Conni, die von Emma Schweiger verkörpert wird. Sie vereint alle Eigenschaften der Gruppe in sich, dient den Zuschauern hervorragend als Identifikationsfigur, ist ein gutes Vorbild, indem sie für Gerechtigkeit und die Unterstützung der Schwächeren kämpft und lädt alle ein, ein Teil des Abenteuers zu sein. Viele witzige Szenen, gerade mit Heino Ferch als bös-verpeiltem Direktor, dienen für komische Momente, die weitere Besetzung mit Ken Duken, Anneke Kim Sarnau und Iris Berben ist hochkarätig, dazu ist die ganze Atmosphäre in der großartig fotografierten ländlichen Idylle auf eine wunderbare Weise zeitlos. CONNI & CO ist ein liebevoll gestalteter, sorgsam und temporeich inszenierter und stimmungsvoller Unterhaltungsfilm für Kinder und Jugendliche und wird mit Sicherheit nicht nur das Herz der zahlreichen Conni-Fans erfreuen." (Offizieller Text der Filmbewertungsstelle Wiesbaden)
Les étoiles des films en prolongations
Puisque nous revenons tout juste de vacances, nous avons du pain sur la planche pour rattraper plein de films. Ceux que nous n'avons pas encore vus sont marqués "tba" (to be announced) et seront adaptés au fur à mesure. Les très bons (****) voire les excellents (*****) films sont marqués en rouge, les mauvais sont marqués en bleu.
A MAN CALLED OVE ***
ANGRY INDIAN GODDESSES TBA
ANTONIO IHM SCHMECKT'S NICHT NEU
BAD MOMS TBA
CAFE SOCIETY ****
CONNY & CO NEU
THE BFG ****
L'ECONOMIE DU COUPLE TBA
FINDING DORY ****
FLORENCE FOSTER JENKINS ***
GENIUS ***
GHOSTBUSTERS TBA
ICE AGE : COLLISION COURSE O
INDEPENDENCE DAY - RESURGENCE O
JASON BOURNE TBA
JULIETA ***
THE LEGEND OF TARZAN **
LIGHTS OUT **
LOVE AND FRIENDSHIP ****
MACBETH ***
MA MA TBA
THE MAN WHO KNEW INFINITY NOUVEAU
MIKE AND DAVE NEED A WEDDING DATE refuse de le voir
MONEY MONSTER ***
NINE LIVES NOUVEAU
NOW YOU SEE ME 2 **
EL OLIVO ***
LA PAZZA GIOIA ***
THE PURGE - ELECTION YEAR refuse de le voir
RACE ***
RETOUR CHEZ MA MÈRE O
THE SECRET LIFE OF PETS ***
THE SHALLOWS TBA
STAR TREK BEYOND ***
SUICIDE SQUAD TBA
TEENAGE MUTANT NINJA TURTLES OUT OF THE SHADOWS refuse de le voir
TRUMAN ****
TONI ERDMANN *****
LA TORTUE ROUGE ****
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